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 JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]

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MessageSujet: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:27

Tout avait été réglé. Ou presque. À quelques détails près si on omettait que l’un des coupables avait fuit, si l’on fermait les yeux sur les blessures d’Aleksei et d’Anatoli. Son ami qui avait été forcé de voir un autre de ses visages. Un de ceux qu’il lui avait savamment caché. Sous ses yeux il avait tué. Violent et parfaitement coordonné pour faire face aux amateurs qui s’étaient dressé sur leur chemin. Pour finir avec son corps inerte entre les bras et un Babayaga salement amoché incapable de se redresser.

Qu’une seule phrase ne lui vint aux lèvres à ce moment là :

— Der’mo ! Ta surprrise était merrrrdique Aleksei.

Il avait ponctué sa parole d’un regard noir, irrité non pas parce que la surprise avait été réellement décevante mais car il n’avait pas apprécié le savoir en danger. Pour toutes ces inquiétudes qu’il lui avait donné. Après avoir été prit en charge pour soigner sa côte cassée, le thorax recouvert de plusieurs bandes on lui avait préconisé le repos. Cela n’avait jamais été si vrai qu’à l’instant ou sa nuque s’échoua sur le fauteuil avoisinant le lit du géant qu’il dévisageait sous ses paupières lourdes. À défaut d’être au chevet d’Anatoli, il restait aux côtés du géant pour mieux fuir ses quelques responsabilités de plus tard. Il n’avait pas envie de songer à la suite tout de suite, de justifier ce qu’il avait fait ou même d’essayer de comprendre ce qu’avaient tenté de lui dire les docteurs au sujet de son ami. Pour l’heure il voulait se concentrer sur l’Ours qu’il admirait du coin de l’oeil plongé dans son sommeil. Immobile comme rarement, figé dans cette expression qu’il lui adulait toujours : déridée et paisible. C’était surréaliste de le voir flanqué dans ces draps blancs. Désagréable et angoissant mais saisissant. Parce que Nikita réalisait que ce dernier n’était pas si invincible qu’il le laissait croire. Un jour, lui aussi finirait par mourir. Comme tout les autres. Et c’était peut-être ça qui lui prenait les tripes finalement. De savoir que ce dernier finirait par le quitter tôt ou tard.

Les jours suivant, il rendit visite à Urkas pour lui faire un compte rendu de l’incident de ce tout ce qui était arrivé, perdu dans un océans de doutes. Ce dernier c’était inquiété de ces imprévus, et Nikita sentit une pointe de nervosité naitre dans sa poitrine au moment de pénétrer l’antre du vieille ours.
— Privet Urkas.
Heureux de revoir l’homme il le salua.
— Privet Niki. Comment vas-tu ?
— Pas trop mal comparé à Alek, mais toujours fatigué. Les Docteurs disent que je dois attendre une quinzaine de jours pour être moins fatigué et quatre semaines pour guérir. Aleksei par contre s’est pas encore réveillé.
— Hm…
Le vieille homme se frotta le menton pensif.
— Je pourrais le faire passer en soins intensifs.
— Da. Ça serait bien, mais il risque de nous en vouloir quand il s’en rendra compte…
Mais pour le remettre sur pied, rien ne serait mieux et ça le plus jeune et le chef s’accordaient à le dire.
— Parle moi de l’incident.
Nik hocha la tête avant de lui faire part tout ce qui c’était arrivé en détails.
D’après les informations qui avaient circulé les clones étaient au coeur de ce coup monté, et plusieurs esprits soupçonnaient le McKnight d’en être l’auteur. Nikita soupira en se massant les tempes à l’instant où il se servit un verre d’une bouteille de whisky du vieille homme. Le verre en main il se laissa tomber dans un fauteuil en regardant les objets et les infos récoltés au moment des faits.
— Ça s’annonce compliqué. Un homme à fuit, on connait toujours pas l’auteur, mais on a déjà des victimes. On va devoir utiliser des informateurs, filer des gens et remonter les pistes peut-être avec le NYPD.
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:27

Les médecins de l’hôpital avaient l’habitude de suivre Rasnikov pour son problème d’algoataraxie, un bon point pour les médecins qui devaient l’opérer pour les diverses fractures sur le corps du vieil ours qui finit par obtenir, au bout de plusieurs jours d’opérations diverses et fastidieusement compliquées, du repos. Un repos qu’il était contraint de subir car malgré les anesthésiants inutiles sur son corps, le Russe avait été contraint de subir une perfusion de Naloxone afin d’obtenir des réactions nerveuses sur la douleur du patient qui, jusqu’à maintenant n’avait jamais voulu suivre ce traitement. Mais il était bien entendu nécessaire après opération d’obtenir des réactions, même infimes de la part d’Alekseï pour s’assurer, après différents scanner, qu’il ne risquait rien. Procédé plutôt barbare alors que d’autres patients auraient plutôt eu le droit à de la morphine pour calmer les douleurs justement.

Bien qu’actuellement son inconscience dure depuis plus d’une journée, Alekseï semblait avoir un air paisible tandis qu’il était sur son lit d’hôpital, ne se doutant pas que Nikita était venu lui rendre visite. On l’aurait presque confondu à ces momies dans les films tellement il était recouvert de bandages et de plâtre en résine, plus léger, et beaucoup plus fin que le plâtre. Mais la voix qui résonnait dans la pièce fit à peine réagir le vieil ours, ses doigts bougèrent sans plus de formalité, il lâcha un soupire paisible dans son sommeil mais rien d’autre.

Lorsque Nikita était allé voir Urkas, ce dernier avait semblé inquiet mais rassuré que ses plus précieux hommes soient encore en vie. L’idée d’Urkas n’était pas mauvaise, seulement, pouvait-il se fier aux machines qu’il avait achetées à l’homme qui semblait en partie responsable de ce désastre ? tout ceci le laissait perplexe, mais Urkas n’était pas homme à agir inconsciemment et sans avoir d’abord analysé la situation dans tous ses détails. Il devra s’avérer patient et avisé, mais s’il veut obtenir des pistes et des preuves sur le fin mot de cette histoire, il devra faire confiance à ses hommes.

─Oui, Nikita… Nous allons devoir utiliser les informations de nos taupes et utiliser la police pour arriver à retrouver ce salopard qui nous a échappé. Quitte à devoir recourir à l’aide, de gré ou de force, de ce scientifique qui semble être à l’origine de tous ces problèmes. Nikita, j’ai un service à te demander…

Le vieil homme s’approcha du jeune homme et l’emmena jusqu’à son jardin privé où ils firent une petite promenade dans la neige. Il n’y avait rien qui pressait, mais Urkas avait besoin de se rassurer que le jeune homme fasse bien ce qu’il lui demanderait.

─Peut m’importe la façon dont tu t’y prendras, mais il faut que ça reste le plus discret possible, retrouve le salopard qui vous a amoché, les salopards qui ont amochés mes hommes et tués des innocents… Il ne faut pas que la police soupçonne quoi que ce soit à votre sujet, il va falloir récupérer les preuves que la police ou les fédéraux ont pu récupérer sur place.

L’on sentait dans le ton du vieil homme qui n’était pas à prendre à la légère. Ni même à être clément envers ceux qui avaient foutus autant de bordel en ville. Il leur ferait payer, à commencer par ce McKnight. Il n’avait pas confiance en cet homme, ni au clone qu’il leur avait donné quand bien même il faisait très bien son travail, il se doutait qu’à un moment ou un autre il finirait par y avoir une couille dans le potage comme pour ces récents événements. Ils passèrent dans un petit renfoncement où se trouvait un petit atelier à l’écart de la demeure principale et Urkas y pénétra en y invitant Nikita à le suivre à l’intérieur. Il arriva face à un établi sur lequel se trouvait une boite en métal.

─C’est un tout nouveau matériel pour Alekseï, est-ce que tu pourrais le lui apporter quand il se sera réveillé ? Je voulais la lui offrir pour son anniversaire… Cependant c’est mal parti pour organiser une petite soirée pour lui. Ce sera pour sa rémission et sa sortie de l’hôpital.

Il sourit de manière chaleureuse au jeune homme et glissa une main paternelle dans ses cheveux avant de le laisser prendre la boite.

─Et comment va ce Anatoli ? C’est un ami à toi ? Rebecca m’a dit que c’était le petit frère de Maksim, est-ce que tu sais pour quelle raison lui aussi a été enlevé ?
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:27

La promenade dans la neige avait réveillé son esprit assoupit et la compagnie d’Urkas comme toujours lui apportait la force dont il avait besoin pour reprendre pied. Il était prêt à répondre à ce que ce dernier lui demandait , non il le ferait sur le champ et commencerait dès qu’il serait partit parce que son chef le lui demandait, pour ne pas dire son père. Le connard qui avait été derrière tout ceci allait le payer et il ferait en sorte de donner à son chef ce qu’il voulait, peu importe comment et si ça commençait par s’introduire a la NYAPD.

Nikita ne manquait pas de moyens, il ne s’était pas battit son héritage pour rien. Coute que coute. Il ne le décevrait pas.

— Compte sur moi, je me charge de tout.

À commencer par aller récolter les indices puis par aller chercher ce McKnight. Ils auraient deux trois explications à échanger tous les deux. Il avait déjà connu l’homme lors d’un entretien privé dont Urkas ou les autres Raws n’avait connaissance après tout. Il allait chercher non seulement les indices que le NYPAD avait, mais aussi se renseigner sur la haute silhouette qui leur avait échappée, celle. qui avait été capable d’affronter Aleksei. Un inconnu qui ne passerait certainement pas inaperçu dans la rue.

Mais pour l’instant, Urkas avait mieux à faire, comme lui présenter un petit présent destiné à Aleksei. Intrigué Nikita prit la boite entre ses doigts avant de sourire.

— Je peux ?

Mais il n’attendit pas la réponse du plus âgé pour y jeter un oeil. Il l’ouvrit et découvrit avec admiration une nouvelle prothèse. Alek avait perdu l’ancienne lors de l’enlèvement. Urkas ne pouvait pas faire mieux. Le plus jeune tira un grand sourire en se tournant vers le vieil ours imaginant déjà la réaction du concerné. Il était bien plus développé que l’ancien, et plus grand. Avec ça Aleksei aurait encore plus de mobilité. Et il avait du couter une petite fortune. Urkas prenait vraiment soin des siens…

— Spasiba… Ça devrait atténuer un peu sa colère une fois qu’on en aura terminé.

Quant à son anniversaire… cette année il ne serait pas le meilleur. Avec tous ces évènements le clan était déjà bien assez préoccupé et ils avaient du pain sur la planche avant de pouvoir à nouveau se détendre. La situation ne prêtait pas aux sourires même si certains se réjouissaient des faits. Ilya le premier. Il imaginait son sourire perfide à la nouvelle de ce qui lui était arrivé.

— Je le lui apporterais assura-il dans un bref sourire en croisant le regard du plus vieux qui tout à coup lui rappela l’existence d’Anatoli. Ses yeux s’arrêtèrent sur l’ours, redevenus graves. Urkas avait toujours le dont de lui rappeler le meilleur… Et le pire. Da il devrait pas tarder à se réveiller si c’est pas déjà fait…

Le blond détourna la tête et hasarda une réponse vague.

—Rebecca à l’oeil… C’est un amis. Je ne sais pas pourquoi il a été impliqué mais je vais le découvrir… Je ne peux pas tolérer ce qui est arrivé.

Parce qu’il ne pouvait pas envisager que son ami soit embourbé dans une telle situation, parce qu’Anatoli devait se porter bien et mener une vie normale, loin de ce genre d’incidents, avec son enfant et sa petite vie si précieuse. Il connaissait Anatoli depuis des années maintenant, c'était comme sa bouffée d'oxygène dans ce quotidien parfois étouffant. Il lui était plus précieux qu’il le laissait voir.

— Je vais y aller. Do vtretshi.

Il se pencha et embrassa la joue de l’homme avant de disparaitre pour retourner chez lui. Une fois enfoncé dans le moelleux de son canapé il composa le numéro de quelques contacts inflitré à la NYAPD pour discuter d’un plan pour récupérer les indices que la police avait récolté. La journée était encore loin d'être finie.

— Allo ? C’est Niki. J’ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi. Va falloir t’occuper de la dernière affaire liée aux clones qui a sévit en ville, j’aurais besoin qu’on se voit quelque part. Da ou tu veux, mais vite parce que ya urgence, maintenant ça serait parfait.

————————————————

Quelques jours plus tard de retour à la clinique, il s’approcha du géant. C’était comme si Aleksei n’avait pas bougé depuis la dernière fois. C’était-il déjà réveillé ? Le blond s’approcha de l’endormis pour l’observer de plus près, quelque peu apaisé par sa vue. iL leva quelques doigts et écarta les quelques mèches qui lui barraient le front pour le dégager.
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:28


Evidemment, le vieille homme était perspicace et avisé, il fallait bien qu’il ait quelques coups d’avance, même avec ses hommes histoire de bien faire comprendre qu’il était le patron et qu’on lui cachait rarement des choses. Il hocha la tête pour laisser voir la nouvelle prothèse toute désignée pour Alekseï. Il ricana quant à atténuer la colère de l’ours. Disons qu’il comptait lui offrir pour son anniversaire, mais le moment était venu plus tôt, tout simplement. Urkas esquissa un sourire bienveillant au jeune homme et hocha la tête en réponse à l’affirmation que Nikita lui transmis. Ajoutant qu’il risquait d’avoir quelques contraintes quant à l’éveil de l’ours en sachant ce qu’on avait fait à l’ours. Histoire que Nikita ne soit pas trop surpris d’une certaine réaction explosive lors de son réveil. Il enchaîna sur Anatoli, sourit en comprenant que le plus jeune s’était trouvé un ami en dehors des Raws, chose qui était plutôt bon et qui permettait à Nikita de décrocher un peu de ce monde brutal au sein du gang, ce qu’Urkas n’hésita pas à féliciter pour le jeune homme. Il faut, quand ‘est nécessaire, avoir une accroche externe au gang. Dans le cas d’Alekseï, il se demandait encore ce qui ne le rendait pas complètement fou ou sauvage dans tous les sales boulots qu’on lui refilait. Quant Nikita parti, Urkas resta seul un moment avec lui-même, fumant sa pipe avant de rejoindre son foyer au chaud et de jouer une petite mélodie au piano.

À la clinique…
Je me sens étrange, comme engourdi ? Quelque chose comme ça. Je sens tout mon corps d’une toute autre manière, quelque chose d’épart, et de pénible. Lourd, je me sens lourd et en même temps j’ai l’impression que mon esprit est ailleurs. Comme les fois où je prends quelques barrettes de cocaïne pour passer outre mes sentiments interne et me vider complètement l’esprit. Ne rien penser, ne rien faire. C’est pénible, et en même temps j’ai l’impression que tout est réel. Je me revois combattre un homme massif, presque aussi grand que moi, être assisté par Anatoli et Nikita dans ma lutte, puis je me souviens de mes membres, mon corps qui ne répondait plus malgré moi avant de sombrer. Sombrer combien de temps ? Combien de jours ? Je l’ignore, et je déteste cet état. J’ai perdu trop de sang sans m’en rendre compte, encore une fois. Pourquoi je ressens tout ça ? Et pourquoi j’ai mal ? La douleur ! C’est donc ce que je ressens qui parcourt tout mon corps, ces putains de petits picotements à la con qui se répandent dans tous mes organes, ces enfoiré qu’est-ce qu’ils m’ont fait bordel ? Pourquoi ? Pourquoi j’ai autant mal, pourquoi le simple mouvement de mon petit doigt me fait mal. Ca me gratte la main gauche, je sais pourtant qu’elle est retournée en Russie il y a de ça bien longtemps et qu’elle doit être enterrée à Moscou, ou jetée à des chiens quelque part. Je doute que mon frère l’ait conservée au congélo durant tout ce temps. Même tenter d’ouvrir les paupières me paraît être aussi pénible que de tenter d’enfiler de ces foutus pantalons moulant en sky dégueulasses. Je sens la chaleur sur mon front, quelque chose de doux, qui me frôle et me chatouille. Et j’ouvre les yeux avec l’impression qu’ils ne s’ouvrent pas, mes paupières s’ouvrent à peine et je sens un poids comme si on m’avait cousu les paupières. Je vois trouble, flou, sombre. J’aperçois tout juste une silhouette que je reconnais à moitié. Mais c’est au moment où je tente de relever ma tête et me redresser qu’une douleur plus brutale encore m’afflige et m’ôte un râle, puis je tente de forcer et ça me déchire tellement les membres et les entrailles que je ne peux m’empêcher de grimacer en lâchant un cri que je tente de retenir entre mes dents. Ma Mâchoire se serre à tel point que j’en ai des douleurs affreuses. Je me sens paniquer, je me sens chercher d’où vient la douleur. J’ai l’impression de retomber dans mes jeunes années quand je prenais ce foutu médoc. Je bouge mes membres et repousse avec difficulté et douleur qui m’ôtent d’autres cris et grognements les mains qui se portent à moi. Ma vue revient petit à petit mais je vois encore flou. En pliant mon bras gauche je sens quelque chose qui s’enfonce un peu plus et comprend que la perfusion doit y être pour quelque chose à la douleur. Saloperie de perf’ !

Alekseï tantôt endormi ne passa pas un réveil doux. Plutôt accompagné de brutalité et de grognements et cris de douleur. Il repoussa Nikita et tenta de retirer la perfusion qui s’incrustait dans son bras, non sans le faire avec barbarie. Le russe interpella l’infirmière qui l’avait entendu crier mais fut très vite repoussée par le géant qui s’adressait à elle mais aussi à Nikita. La douleur le faisait perdre pied et passer dans une colère folle. Il enrageait de se sentir si faible à cause de cette fichue douleur. Haletant et comme un enfant en panique il se mis à hurler en russe.

«*Laissez-moi ! Foutez-moi l’camp ! Barrez-vous !! Enlevez-moi ces merdes !»

Il ne comprenait pas vraiment, tolérait très mal la douleur et réagissait très mal à cette réaction naturelle qui ne l’était pas pour lui. Mais contre son gré, infirmiers et docteurs finirent par arriver en renfort pour tenter de le calmer, et passé une bonne grosse demi-heure, le russe retrouva finalement sa tranquillité… sanglé au lit sans pouvoir bouger et avec une injection de morphine qui le shootait beaucoup plus avec une minidose qu’une personne ordinaire. Il ressentait toujours la douleur, mais les calmants et analgésiques lui donnaient la nausée. Au moins, quand Nikita eut l’autorisation de revenir dans la chambre, Alekseï était calme, quoiqu’un peu bougon.
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:28

Sans que le blond ne puisse s’y préparer, ce qui avait été durant des semaines une poupée de chair inanimée s’éveilla soudainement avec une violence inattendue. Tellement qu’il manqua de cogner le mur quand Aleksei le repoussa d’un large geste du bras qui le fit reculer de force. Comme si le combat n’avait pas cessé depuis le jour de son combat avec cet autre géant qui l’avait acculé. Plongé dans sa rage de l’instant, les raisons n’étaient pas pourtant pas les mêmes. La seule chose qu’il combattait à l’instant se trouvait dans sa propre chair. Elle devait le faire palpiter de vie et lui faire sentir à quel point il était loin d’être mort. Nikita imaginait que trop bien ce qui se passait sous ses yeux.

Enfin. Alek pouvait gouter ce juste retour. Depuis combien d’année avait-il attendu un tel moment ? Trop longtemps pour ne pas en jubiler. Plus que la douleur, c’était cet air fébrile et perdu qu’il lui appréciait. Volontairement en retrait il avait observé la scène, ne manquant aucune image de celle-ci. Surprit mais pas ignorant il avait été prévenu de la réaction que le géant allait contracter après coup. Et quelle image ce fut, de le voir batailler et gronder comme un éclat de tonnerre. Toutes les infirmières étaient affairées à le maitriser et les médecins tentèrent de le calmer sans savoir ce qui se cachait derrière ce rideau de violence. Une chose que Nikita savourait après toutes ces années. Sans se mettre en travers la route du géant ni des infirmiers, il s’était délecté de la souffrance criante du Raw. Ses yeux brulant d’un plaisir malsain et silencieux mais avant de voir la fin de cette triste bataille dont l’issue était signée, sa silhouette détachée disparue dans les couloirs de l’hôpital pour attendre que la tempête passe. Et lorsqu’il put enfin revenir le rejoindre, ses yeux le trouvèrent coincé dans une camisole qui semblait faites pour lui. En silence, le Raw approcha de son « supérieur » pour venir s’assoir en bordure de lit. Voir le visage contrarié du géant ne cessait de nourrir son plaisir savamment caché et trahi par une lueur intense à peine perceptible quand il prit un bout de lit non loin du plus vieux. Son regard pâle et froid glissé dans le sien.

« Alors, qu'est-ce que ça fait de souffrir ? »

Ce n’était pas pareil que cette autre fois à la corneille, c’était différent. Pas mieux, mais tout aussi délicieux.

— Tes blessures auraient mit trop de temps à se soigner déclara-il en toute simplicité pour lui expliquer la situation. Tellement qu’elle devait être énervante à entendre. On a pas le temps de te laisser ici trop longtemps Brat. Comme s’il ne s’agissait que d’un détail, une simple équation dans un calcul savamment réalisé. Quelque chose sans importance.

Son regard coula sur le bandage invisible, et sa main se leva pour parcourir la toile de sa blouse de patient, pour localiser l’endroit ou sa propre balle avait traversée la chair musclée. Là ou son tir avait percé. Originellement à destination de leur agresseur. Sa curiosité malsaine le poussa à venir chercher sa blessure ou ses doigts s’attardèrent. Aleksei put probablement le sentir, à cet instant, quand sa main pressa la plaie. Ses yeux rivés droit dans les siens il pencha son visage de côté.

— Le coupable court toujours. On est surr sa piste.

Comme pour lui rappeler son échec. Leur échec à tous. Un coupable à retrouver pour lequel il déjà mit de nombreux dispositifs à disposition pour le faire pister et la recherche ne continuait de cesser, mais en attendant…

— Toi tu dois te rrreposer encore, regagner des forrces.

Il écarta finalement sa main sans savoir s’il avait provoqué un afflux de sang, une trainée rougeâtre. Un léger sourire naquit sur ses lèvres finalement, illuminant ses traits.

Aleksei devait guérir vite. Redevenir celui qu’il était et pour ça, tous les moyens étaient bon. Et surtout, Aleksei devait être en parfait état.
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:28

Il suffit d’un regard. D'un seul pour plonger ses iris ocre dans celles de Nikita. Ces yeux plein de fureur et de rage, une rage qu’il avait déjà eue à son encontre, mais cette fois-ci, décuplée par la douleur qu’il ressentait actuellement. Il lui avait suffi de croiser à peine quelques microsecondes cette petite flamme dansante sur le visage du gamin. Et il l’avait vu sourire intérieurement à la réaction du géant. Il le savait. Ce petit con jubilait malgré sa tête de choqué de la vie. Ce putain de sale gosse devait bien rire, il devait certainement se réjouir, après tout le mal que lui a fait subir le vieil ours. Il l’aurait tué s’il n’avait pas autant mal. Si on ne l’avait pas forcé à rester allongé en lui foutant des sédatifs dans le cul et le sanglant comme un animal enragé pour qu’il ne puisse pas bouger ou se détacher. Sanglé au niveau du buste et des genoux, les infirmiers avaient serrés assez fort pour que le vieil ours ne tente pas de dégager une main ou une jambe pour tenter de sortir du lit.

Mais il ne fallait pas se donner cette peine. Les analgésiques lui donnaient la gerbe, et il n’était pas loin de rendre sa bile. Sa vision s’était à nouveau troublée et son champ de vision rétréci. Quand il fut enfin calme, Nikita avait pu revenir dans la chambre. Les deux hommes étaient désormais seuls. Le cœur du vieil ours battait fort, pris d’une envie massacrante de dévisser la tête de ce petit con qui jouait de sa faiblesse actuelle. Le regard d’Alekseï était tout sauf amical malgré le fait qu’il soit réellement shooté. Il allait le tuer. Il finirait par le tuer. Et en même temps il savait, c’était lui qui avait rendu le gamin comme ça. C’était à cause de lui qu’il était aussi monstrueux finalement. Sa respiration se faisait plus rapide et plus lourde, plus saccadée. Pas par crainte non. Alekseï n’avait pas peur de mourir et Nikita aurait pu l’achever à cet instant qu’il aurait finalement été libéré d’un poids. D’un lourd fardeau qu’il portait sur ses épaules et qu’il était prêt à emmener avec lui dans sa tombe.

Lorsque les paroles de Nikita frappèrent dans ses oreilles, elles résonnaient encore assez vivement dans sa tête. Il eut un sursaut et grogna en montrant ses dents comme un animal. Tirant sur les sangles en cherchant à se redresser. S’il avait pu lui bouffer la main il l’aurait fait volontiers. Au lieu de ça il leva les yeux sur le gamin. Ils attendaient son retour et son rétablissement rapide. Il n’avait pas besoin de parler pour faire comprendre à Nikita qu’il était prêt à faire ce qui était nécessaire. Mais lorsque cette mains glissa jusqu’à sa blessure par balle sur l’omoplate, le russe retint un cri, préférant plutôt se tordre de douleur en serrant le poing et refermant les orteils. L’effet analgésique plus réveil de la douleur eurent don de faire remonter de la bile jusqu’à ses lèvres mélangé à du sang, certainement dû à ses blessures internes. Et Il la lui cracha au visage en voyant son sourire. Mais même son propre sang avait un effet radical sur l’ours. Et il chercha à ses calmer alors que sa respiration était saccadée et forte sous la colère et la douleur.

«*Fais ce que tu as à faire, petit con ! Je ne compte pas rester là à attendre que vous trouviez ces enfoirés !»

Il serra les dents et plissa les yeux. Son poing tremblait tellement il le serrait fort. Si fort qu’il s’enfonçait les ongles dans la peau. Il ne supportait pas être dans un tel état lamentable. Être à la merci d’un autre, misérable et faible. Ca l’horripilait et le rendait malade.

«*Je compte pas rester dans ce putain de lit longtemps ! Et quand j’en sortirais je te ferais bouffer tes propres doigts ! »

Des menaces, même dans cet état. Nikita pouvait bien jouer avec lui et s’amuser pour l’instant. Mais il comptait bien lui faire payer et il était sérieux dans ses menaces. De là à ce que sa vengeance se fasse de cette manière… Il faudra voir, attendre que l’ours sorte. Mais il n’avait certainement pas perdu de sa combativité. Plus vite il serait soigné, plus vite il serait sorti pour retrouver ces enfoirés et leur faire payer.
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:28

Jamais Babayaga ne brisait son habituelle flegme en dehors d’un combat mais… Savoir que son propre visage suffisait à le rendre encore plus furieux avait quelque chose de jouissif. Il n’avait pas besoin d’être un colosse pour le rendre dingue et c’était sans doute le meilleur. Qu’un mec aussi insignifiant que lui soit capable de faire réagir un tel homme. La situation le rendait malade et avait ce quelque chose de si prenant. Presque dramatique. Un homme insensible comme lui. Froissé pour si peu. Si peu qu’un soupçon de souffrance dans son océan plat insensible. Presque insensible.

Nik sentit sa nuque se raidir. Ses yeux se refroidir.

—Nadeyus' ty ne zhaluyesh’sya.*

Au crachat, il ferma les yeux, visage détourné, l’expression tendue. Aleksei venait vraiment de le faire ? Un rire secoua sa gorge. Ses doigts se levèrent pour venir essuyer le liquide poisseux qu’il regarda entre ses doigts avec dedain. Il agita ses phalanges pour observer les gerbes de sang qui s’y mêlaient, pensif. Babayaga ne cesserait jamais de lui cracher à la figure. Peu importe le temps ou la façon. Il l’avait accepté depuis longtemps mais ne s’y habituait jamais.

Et qu’est-ce qu’il lui restait à ce jour sinon que son dédain et sa rage ? Son visage se pencha quand il reposa ses prunelles vides sur sa silhouette, s’attardant sur sa camisole. Il le trouva tout à coup ridicule et se releva. D’un geste imprévisible il lui attrapa la mâchoire avec une force qu’on ne lui aurait donnée pour la coinçer entre ses doigts souillés. Il força un geste pour lui redresser le visage les yeux dans les yeux sans lui laisser le choix de longues pour de longues secondes. Dans sa poigne la force de celui qui maitrisait la situation et la force de celui qui était le maitre.

— Je t’interdis de me parler comme ça, tu n’es qu’un chien…

Qu’il sente son impuissance, qu’il la sente tellement profondément dans ses entrailles plus que tout, qu’il savoure sa colère. Et surtout, qu’il continue à le contrarier et Nikita lui rappellerait à quel point la vie pouvait être cruelle. La vie ou tout simplement lui. À cet instant là c'était lui qui dominait et rien de plus.

— Neblagodarnyy* railla-il. Garde ton fiel tu en auras besoin quand je t’aurais à nouveau mis devant celui qui nous a mit dans la merde et surtout…N’oublie pas Alek, n’oublie pas la Corneille.

Il lui poussa le visage de coté en reculant et s’essuya les doigts près du lavabo avant de tourner les talons pour le laisser seul. Son ton avait été clair. S’il s’avisait de le traiter une fois encore de la sorte il saurait lui rappeler à quel point il pouvait être cruel. La porte close, Nikita ferma les yeux avant de tirer une grande inspiration pour redevenir maitre de lui. Après quelques souffles, il rouvrit ses paupières. Babayaga récupérerait vite, il venait de lui prouver qu’il n’avait pas perdu de sa superbe. Nikita était persuadé que quand il ressortirait il serait encore plus fort de sa rage. Les jours passés dans cette pièce leur rendrait service en exaltant sa colère tout comme il venait de le faire. Ce dernier ferait du bon travail et traquerait sa proie jusqu’au bout. Qu’il l’ai titillé un peu juste avant le lui avait prouvé, son regard n’avait pas mentit. Bien que ses menaces n’aient rien eu d’un mensonge il s’était plu à tester un peu l’homme non sans masquer son plaisir malsain.

*[J'espère que tu ne te plains pas]
*[Ingrat]
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MessageSujet: Re: JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ]   JUSQUE DANS LES VEINES DE TON CORPS. [ PV : ALEK ] Icon_minitimeDim 15 Déc - 10:28

La colère et la douleur parlaient pour lui, le russe ne supportait pas cet état de faiblesse, mais constater que le gamin prenait son à-pic sur lui le rendait encore plus malade. Se plaindre ? Il allait lui faire bouffer son poing. Il remua, ce qui réveilla encore plus la douleur dans son corps. Lui crachant son venin au visage et son cœur s’affolant de plus belle sous cette nouvelle sensation, l’adrénaline montant avec la colère et cette douleur lui donnant cette sensation de malaise désagréable. Après ses mots virulents, le jeune homme s’était contenté de rire sous le regard ardent du vieil ours. Ne se laissant pas décontenancer par la situation lorsque Nikita observa ses doigts ayant récupéré le glaviot visqueux et ensanglanté. Il prenait cette minute de répit pour reprendre sa respiration et un rythme moins affolé, plus calme, continuant d’observer le blond platine avec un regard meurtrier. Ah ! S’il avait pu avoir le regard qui tue à cet instant…

Son visage soudainement agrippé et maintenu avec fermeté le fit plisser les yeux, gardant ses yeux ocre ancrés dans ceux de glace du plus jeune. Serrant les dents si fort qu’il s’en fit mal à la mâchoire. La tête relevée le fit gémir par le nez, un grondement lâché en réponse à une douleur qui se réveillait de plus belle. Si tant fut que le plus jeune ours semblait maîtriser la situation, l’ours n’en paru pas affecté. Aucunement, cet air de défiance et de provocation, c’était la seule chose qui lui permettait de garder la tête droite, cette fierté mal placé et son honneur. L’état de faiblesse dans lequel il était n’était aucunement apprécié, et il était également en colère contre lui, mais surtout contre Nikita qui prenait trop ses aises actuellement pour la situation. Qu’il profite de cet instant car il lui renverrait la balle plus fort encore.

«*Ne prends pas cet air supérieur avec moi parce que tu as l’aval d’Urkas, petit con ! Tu n’es qu’une putain !»

Son buste se souleva et il s’agitait sous ses sangles pour tenter de se dégager et lui foutre un coup malgré son état actuellement lamentable. Soulevant presque avec sa force brute et naturelle le matelas sur les bords, lâchant un grognement de colère. Mais lorsqu’il eut du jeu et qu’il fût enfin libéré de la main de Nikita Alekseï se mis à rire à la provocation et la menace du plus jeune. Un rire rauque qui lui arrachait la gorge. Pourtant il continua jusqu’à se calmer et sa voix basse et sombre claqua dans la pièce.

«*N’oublie pas qui a fait de toi un monstre, gamin ! N’oublie pas à qui tu parles et ce que je suis capable de te rendre…»

Lâcha-t-il avant que le futur chef des Raws ne quitte la pièce. Désormais seul dans la pièce, le russe continua de regarder la porte de sa chambre, sanglé à son lit. Il reprit son calme peu à peu et lâcha un soupire. La pression redescendant, il regarda le plafond longuement, très longuement. Ne pensant qu’à une chose, sortir de cet endroit pour retrouver l’enfoiré qui l’a mis dans cet état et surtout, donner une petite correction à Nikita pour son comportement. Puis ses pensées finirent par divaguer et il se rendormi, rêvant de son frère et sa mère. Son cœur fut pris d’une douleur lancinante et son visage se tordit d’une grimace douloureuse.
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